Alors que la Commission européenne devrait publier en avril ses données sur les émissions de CO2 réglementées dans le cadre du système d'échange de quotas d'émission (ETS ou SCEQE) pour 2023, les estimations font part d'une baisse de 11 % par rapport à en 2022. En cause, la faiblesse de la conjoncture. Le prix des quotas carbone ont, eux, dégringolé l'an dernier.
La Commission européenne devrait publier en avril ses données sur les émissions de CO2 réglementées dans le cadre du système d'échange de quotas d'émission (ETS ou SCEQE) pour 2023.Mais selon les estimations de S&P Global, celles des centrales électriques et des industries lourdes seront de l'ordre d'1,123 milliard de de tonne équivalent CO2 (CO2e), soit une baisse de 11 % par rapport à en 2022 et de 17 % par rapport à 2020, année pourtant au pic de la pandémie.
Faiblesse du PIB, moteur de la baisse des émissions
La faiblesse de la macroéconomie a été identifiée…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?