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Comme certains l’ont expliqué sur la page Facebook de France Routes, ces Unimog siamois ne sont évidemment pas appelés à le rester.
Cet assemblage temporaire, réalisé en usine, ne sert qu’à faciliter la livraison d’Unimog destinés à être utilisés comme têtes motrices (la boîte de transfert entraîne alors uniquement les roues avant et la partie arrière est coupée). Ces Triebkopf sont ensuite associés à des carrosseries dont les roues arrière peuvent être indépendantes et sans système d’entraînement.
De ce point de vue, l’image d’ouverture n’est pas représentative de l’usage courant d’un Unimog en « tête motrice », puisque, dans ce cas, la superstructure, une benne déposable, est montée devant la partie motrice, avec une direction articulée entre les deux éléments. Spectaculaire tout de même.
Plus classiquement, voici quelques exemples d’Unimog carrossés par Ruthmann. Le premier montre un plateau pouvant être posé au sol, pour l’auto-chargement/déchargement d’engins. Le second, une carrosserie dont la structure en forme de U, ouvert sur l’arrière, permet l’échange de carrosseries, leur mise à niveau au sol ou en hauteur, voire leur bennage.
Ruthmann décline également ces véhicules dans d’autres tonnages et avec d’autres bases (toutes dérivées de porteurs 4×4), comme ici des Mercedes Axor et Vario.
Des utilitaires légers à traction avant peuvent aussi être choisis, comme ici un Fiat Ducato.
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