Minerai de fer, ferraille, céréales et GNL, Rotterdam tient dans ces quatre flux ses rares motifs de satisfaction. La mise sous tension du premier port à conteneurs sur la rangée nord-européenne se confirme. Avec un repli de 7 %, le Néerlandais passe sous la barre des 14 MEVP. Par chance, le numéro deux, Anvers, a aussi trébuché l'an dernier.
Tentative de détournement de l’attention. Dans sa communication portant sur les trafics de 2023, le port de Rotterdam introduit son propos par un long développement sur ses investissements et ses avancées en matière de transition énergétique. Le message n’en est que plus clair : il y a toujours moins de trafics dans le premier port européen mais toujours du cash (295,4 M€ investis en 2023, soit près de 15 % de plus qu'en 2022) pour assurer l’avenir d’un port qui se présente en transition.Baisse de 6,1 %
Sur un an, Rotterdam accuse une perte d’un peu plus de 28 Mt et s'établit à 438,8 Mt, soit 6,1 % de moins qu'en 2022 (467,4 Mt où…
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