Les procédures administratives entravent le fonctionnement du corridor maritime céréalier qui doit permettre de sortir les céréales bloquées en Ukraine depuis février et exacerbe la congestion en mer de Marmara. Depuis le 1er août, date de l’entrée en opérateur, seul un tiers du stock a pu être expédié. En cause, le manque d’anticipation des exigences à bord et le sous-dimensionnement des équipes chargées d’inspecter les navires en Turquie.
Le corridor maritime céréalier, qui doit offrir une porte de sortie à une partie des quelque 20 Mt de céréales bloquées en Ukraine depuis février en raison du blocus maritime sur la mer Noire imposé par l’agresseur russe, n’est pas épargné par la congestion. Mais celle-ci est moins logistique que bureaucratique.
Les vraquiers agréés dans le cadre de l’accord de l’accord du 22 juillet entre les belligérants avec la médiation de la Turquie et à l’initiative de l’ONU…
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