Encore peu utilisée en France, l’eCMR ou lettre de voiture électronique va passer à une vitesse supérieure en 2024 puis 2026. Pour les acteurs du TRM, cette évolution va se traduire par des gains financiers et une plus grande productivité.
Cette année, cela fait sept ans que la France a signé le protocole additionnel à la CMR (Convention relative au contrat de transport international de Marchandises par Route) autorisant la dématérialisation de la lettre de voiture. Une trentaine d’autres pays dont plus de la moitié appartenant à l’Union Européenne ont également sauté le pas. À l’instar de l’Allemagne, Danemark, Espagne, Pays-Bas, Portugal, Pologne, etc. Pour les acteurs économiques concernés, ce passage à la lettre de voiture électronique ou eCMR présente plusieurs avantages. « D’abord, l’eCMR réduit ou supprime les coûts d’impression et d’archivage et diminue le temps passé à la gestion administrative », souligne Pascal Turpin, Head…
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