Pour répondre aux normes environnementales, les transporteurs routiers tendent à se tourner vers les biocarburants. Entre le B100 ou le HVO, ils définissent leurs stratégies pour gérer au mieux les avantages et inconvénients de ces carburants.
Pour se plier aux exigences réglementaires ou satisfaire aux desiderata de leurs donneurs d’ordre, tout en évitant de renouveler leur flotte, les transporteurs routiers peuvent se tourner vers deux solutions de carburants alternatifs représentés par le HVO et le B100. Ces deux solutions requièrent toutes deux l’utilisation de cuves dédiées, ce qui les restreint à certains trafics (régionaux ou lignes régulières par exemple). Elles relèvent toutefois d’une logique différente. Le B100 présente plusieurs avantages réglementaires et fiscaux par rapport au HVO. Le fonctionnement au « B100 exclusif » donne ainsi accès à la vignette Crit’Air 1 et au suramortissement. Ce n’est pas le cas – pour l’instant - pour le HVO, dont l’usage…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?